Indispensable relecture !

Vous comme moi, il nous est arrivé de presser la touche « envoyer » ou « valider » sans avoir totalement relu nos écrits. Et ce qui doit arriver… arrive : la boulette !

Au mieux, cela fait juste sourire ou rire parce que c’est sans mise en cause d’une personne ou d’une organisation.
Au pire, cela crée des situation très gênantes si cela implique un tiers d’une manière très indélicate.
Cela pourrait même aller jusqu’à ce que le tiers porte l’affaire en justice…

Les faits et l’effet du 15 février 2020 !

Ici, c’est showroomprive.com (adresse LinkedIn) qui s’y colle avec cet envoi qui m’a bien fait rire (capture d’écran cliquable). C’est sans doute lié à un correcteur orthographique qui suggère le mot le plus proche de ce qui a été saisi dans l’objet du mail adressé en publipostage. Il peut aussi s’agir d’une mauvaise blague de potache qu’on a oublié d’effacer avant l’envoi. Il est toutefois pratiquement certain qu’il s’agit là d’une bévue involontaire.
Mais, sans la fameuse relecture, les effets sont là.

Incohérence entre l’objet du mail et son contenu.

Car il s’agit bien de cela. Le contenu complet du mail montre que ce sont d’autres attributs relatifs à l’empire Harry Potter que l’on souhaite promouvoir (capture d’écran cliquable).

Pour le coup, à part une petite égratignure à l’enseigne, il n’y a pas d’implication d’un tiers, donc tout reste bénin. Il ne sera pas nécessaire de remercier celui ou celle qui a composé le message : un rappel bienveillant sera sans doute suffisant car je ne crois pas me souvenir d’erreur de ce genre par le passé lorsque Showroomprive envoie ses annonces de ventes.

Tout est bien qui finit bien !

Showroomprive.com, vous avez fait ma journée avec ce petit moment d’humour !!!!

Et grâce à vous, Showroomprive, il est possible de réactualiser ce conseil tant de fois répété : RELISONS-NOUS !

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Photo d’illustration : Grammar par Daniel Silliman (sur Flickr.com _ Creative Commons)

#communication #messagerie_électronique #TIC